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Articles
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L’armée israélienne démolit la communauté bédouine d’Al-Araqib pour la 236e fois
26 février, par AlexandreLe 24 février 2025, les troupes et les bulldozers israéliens ont démoli le village de la communauté bédouine d'Al-Araqib, dans le désert du Naqab/Neguev, au sud du territoire israélien. Les bulldozers ont rasé les tentes et les maisons des 22 familles et 800 personnes vivant dans le village, (…) -
« Mur de fer » : après 40 jours les chars israéliens sont à Jénine, l’armée annonce sa présence dans les camps pour toute l’année 2025
26 février, par AlexandreDepuis le dimanche 23 février 2025, les chars israéliens ont envahi le camp de réfugié.es de Jénine. Après bientôt quarante jours d'agression contre Jénine, Tulkarem et Tubas, les autorités israéliennes ont annoncé une nouvelle étape de leur opération « mur de fer » autour de deux grandes (…) -
« Mur de fer » : après 40 jours les chars israéliens sont à Jénine, l’armée annonce sa présence dans les camps pour toute l’année 2025
26 février, par AlexandreDepuis le dimanche 23 février 2025, les chars israéliens ont envahi le camp de réfugié·es de Jénine. Après bientôt quarante jours d'agression contre Jénine, Tulkarem et Tubas, les autorités israéliennes ont annoncé une nouvelle étape de leur opération « mur de fer » autour de deux grandes (…) -
« Mur de fer » : un mois plus tard, l’armée israélienne entre à Jénine avec des chars et annonce sa présence dans les camps pour toute l’année 2025
26 février, par AlexandreDepuis le dimanche 23 février 2025, les chars israéliens ont envahi le camp de réfugié·es de Jénine. Après bientôt quarante jours d'agression contre Jénine, Tulkarem et Tubas, les autorités israéliennes ont annoncé une nouvelle étape de leur opération « mur de fer » autour de deux grandes (…) -
Ashlaa’ et génocide à Gaza : la vie embrase et résiste à la fragmentation de la chair
26 février, par Presse — Gaza, PalSolAshlaa' et génocide à Gaza : la vie embrase et résiste à la fragmentation de la chair Le mot arabe ashlaa', qui désigne des parties de corps dispersées, capture l'horreur des conséquences de la violence. Parler d'ashlaa' est un acte de résistance, un refus de rester passif face à l'horreur. « (…)